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BOUFFÉE DÉLIRANTE

 

 

 

 

 

 

 

La bouffée délirante : causes, symptômes et traitements

Dr Laurent Arôme
Mis à jour le 23 janvier 2020

02 octobre 2014

Dr Jesus Cardenas
Directeur médical de Doctissimo

La bouffée délirante est une apparition brutale et momentanée d'épisodes délirants chez une personne auparavant sans problème. Cette atteinte est nommée "bouffée" car elle dure en général quelques semaines, et reste inférieure à 6 mois.
Sommaire
*         Qu'est-ce que la bouffée délirante ?
Quels sont les symptômes des bouffées délirantes ?
Quelles sont les causes des bouffées délirantes ?
Quelles sont les personnes à risque ?
Quels sont les traitements des bouffées délirantes ?
 
Qu'est-ce que la bouffée délirante ?

Qu'est-ce que la bouffée délirante ?
Les bouffées délirantes se manifestent à travers un ou plusieurs épisodes de délires. Le trouble n'est pas perçu par la personne, qui est convaincue de vivre réellement les éléments de son délire : il ou elle adhère complètement aux idées qu'elle peut avoir, sans recul ni critique. Comme les psychoses, elle ne perçoit plus la réalité.
Quels sont les symptômes des bouffées délirantes ?
Signes précurseurs
Des signes précèdent le premier épisode de bouffée délirante dont le plus fréquent est l' insomnie. Le sujet peut également adopter un comportement inhabituel ou souffrir d'une anxiété particulière.

Symptômes caractéristiques
La bouffée délirante peut se manifester de plusieurs façons2 :
*         La manifestation brutale de pensées soudaines et irrationnelles comme l'impression d'être possédé, d'avoir son corps déformé, un délire paranoïaque ;
*         Un discours incohérent et désordonné ;
*         Un sentiment de dépersonnalisation ou de dédoublement de la personnalité ;
*         Un environnement perçu comme différent, étrange ;
*         Des hallucinations sensorielles ;
*         Une altérations du jugement ;
*         Des sensations d'intuition soudaines et absolues ;
*         Des changements d'humeur fréquents au cours de la journée. Le sujet passe d'une sensation de joie intense, euphorique, à des phases de profonde dépression en quelques instants.

Ce délire peut avoir de très nombreux thèmes. Parmi les plus fréquents, l'impressions de possession, de persécution, sensation de grandeur, de puissance, mégalomanie, thèmes érotiques ou mystiques.
Dans 25% des cas2, le délire disparaît complètement en quelques semaines voire quelques mois. Environ la moitié de ces bouffées délirantes ne se renouvelle pas.

Signes physiques
Très souvent, des symptômes physiques sont associés dont l' absence de règles ou des troubles du comportement alimentaire type anorexie, boulimie.
Quelles sont les causes des bouffées délirantes ?
La bouffée délirante pourrait être expliquée par un contexte environnemental et relationnel difficile, et survenir en tant que décompensation2 : les mécanismes de protection psychique s'effondrent.
On trouve parfois des éléments qui "déclenchent" le délire, ce sont en général des chocs émotionnels forts : un échec professionnel ou amoureux, un deuil, une première relation sexuelle par exemple.
L'isolement et l'enfermement peuvent favoriser ce trouble.
La bouffée délirantes peuvent être le signe d'un début de schizophrénie3.

Quelles sont les personnes à risque ?
Les crises surviennent généralement chez les adolescents ou jeunes adultes de moins de 30 ans, fragiles psychologiquement, souvent immatures et éprouvant des difficultés à s'intégrer à son environnement.
Mais des personnes sans antécédents psychologiques ou psychiatriques peuvent être victimes de bouffées délirantes.

Quels sont les traitements des bouffées délirantes ?
Ce type d'atteinte est traitée en urgence à l'hôpital. Un examen neurologique, le dépistage de substances psychotropes dans le corps et la recherche de la ou les causes potentielles sont effectués.
En fonction des symptômes observés, les médicaments employés sont des neuroleptiques, qui agissent sur le cerveau et aident à faire disparaître le délire. Le traitement est diminué progressivement à la fin des signes de la maladie. Il dure en général quelques mois sauf en cas de récidives.
Si la bouffée est sévère et le traitement inefficace, une cure de sismothérapie (électrochocs) peut être envisagée.
Une psychothérapie de soutien est débutée assez tôt et poursuivie après la fin de l'épisode délirant.

 

 DOCUMENT    doctissimo.fr      LIEN  

 
 
 
 

LE FOIE

 

 

 

 

 

 

 

foie

Cet article est extrait de l'ouvrage « Larousse Médical ».
Volumineuse glande annexe du tube digestif, aux fonctions multiples et complexes de synthèse et de transformation de diverses substances. (P.N.A. hepar.)

1. DESCRIPTION DU FOIE

Le foie est situé en haut et à droite de l'abdomen, sous la coupole droite du diaphragme, qui le sépare du poumon correspondant. Il est masqué, en arrière et sur les côtés, par les côtes.

Il est en rapport anatomique avec plusieurs éléments. Vers le haut et en arrière, il est fixé au diaphragme par un épais ligament. Sous sa face inférieure, la vésicule biliaire lui est accolée avec, à sa gauche, le pédicule hépatique ; celui-ci est formé de l'artère hépatique (allant de l'aorte vers le foie), de la veine porte (drainant le tube digestif et allant vers le foie) et de la voie biliaire (allant du foie vers la vésicule biliaire et l'intestin).

Le foie pèse 1,5 kilogramme chez l'adulte. Il présente quatre lobes (les lobes droit et gauche, le lobe médian et celui de Spiegel), chacun étant divisé en un ou plusieurs segments. Le foie est ainsi constitué en tout de 8 segments, chacun étant l'objet d'une vascularisation propre. Cette segmentation permet de réaliser des hépatectomies partielles, dites encore réglées, où l'ablation se limite à un ou quelques segments, 5 au plus.

2. FONCTIONNEMENT DU FOIE

Le foie reçoit, par l'artère hépatique et la veine porte, des substances chimiques, qu'il transforme et rejette soit dans la bile, par laquelle elles passent dans la vésicule biliaire puis dans l'intestin, soit dans les veines sus-hépatiques, d'où elles passent dans la veine cave puis dans l'ensemble de la circulation sanguine.

De plus, le foie peut synthétiser des substances et en stocker. C'est le physiologiste français Claude Bernard qui le premier a mis en évidence, par des expériences de « lavage » du foie, la fonction glycogénique de cet organe (→ glycogénogenèse, glycogénolyse), laquelle consiste à stocker le glucose sous forme de glycogène ; en cas de déficit en glucose, le foie en libère pour maintenir constante la glycémie (taux sanguin de glucose). Ce fonctionnement s'applique à des glucides, à des lipides, à des protéines.

Le foie synthétise en particulier plusieurs protéines facteurs de la coagulation  : le facteur I (fibrinogène), le facteur II (prothrombine) et les facteurs V, VII, VIII et X, dont les taux sont diminués lors des insuffisances hépatocellulaires (destruction massive des cellules du foie).
Ces fonctions de stockage et de recyclage opérées par le foie s'appliquent aussi à des hormones, à des vitamines et aussi à des toxiques, ainsi transformés et rendus inoffensifs ; ces substances sont d'origine interne (venant des organes, des tissus) ou externe (aliments, médicaments).
La survie sans foie ne peut durer que quelques heures. En cas d'insuffisance hépatique grave et irréversible, le seul traitement possible est la greffe.

3. EXAMENS DU FOIE

L'exploration fonctionnelle du foie repose sur les dosages sanguins. Ainsi, une insuffisance hépatique se traduit par une diminution du taux de certaines protéines (albumine), révélée par une altération des tests de coagulation (surtout le temps de Quick). Une cholestase (insuffisance de l'excrétion biliaire) provoque une augmentation du taux sanguin de bilirubine et des phosphatases alcalines. Une cytolyse (destruction des cellules hépatiques) s'accompagne d'une augmentation du taux sanguin des transaminases. Le taux de gammaglutamyl-transpeptidase (gamma-GT) sanguine s'élève au cours de toutes les affections du foie.

La ponction-biopsie hépatique, pratiquée par voie transcutanée, permet l'examen histologique du fragment de parenchyme hépatique prélevé. Les examens complémentaires radiologiques du foie sont l'échographie, le scanner et l'imagerie par résonance magnétique (I.R.M.). Le fibroscan permet de mesurer l’ampleur de la fibrose par voie externe.

4. PATHOLOGIES DU FOIE

Hépatite
       
Le foie peut être atteint par une inflammation (hépatite, d'origine virale, alcoolique, toxique), par une infection bactérienne globale ou localisée (abcès), par un parasite (amibiase, kyste hydatique), par une cirrhose, par une tumeur bénigne ou maligne (carcinome hépatocellulaire, métastases), par certaines maladies de stockage (hémochromatose, amylose) ou encore par des affections congénitales (anomalies du métabolisme, atrésie des voies biliaires).
Voir : alcoolisme, cancer du foie, cirrhose, fibrose hépatique congénitale, foie cardiaque, hépatite, hépatocyte, insuffisance hépatocellulaire, stéatose, tumeur bénigne du foie.

 

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Un cerveau virtuel pour décrypter l’épilepsie

 

 

 

 

 

 

 

Un cerveau virtuel pour décrypter l’épilepsie

COMMUNIQUÉ | 29 JUIL. 2016 - 10H55 | PAR INSERM (SALLE DE PRESSE)

NEUROSCIENCES, SCIENCES COGNITIVES, NEUROLOGIE, PSYCHIATRIE | TECHNOLOGIE POUR LA SANTE

Le Cerveau Virtuel : reconstruction des régions du cerveau et des connexions qui les relient. Les cubes verts indiquent le centre des régions du cerveau qui sont connectées
© INS UMR1106 Inserm/AMU.

Des chercheurs du CNRS, de l’Inserm, d’Aix-Marseille Université et de l’AP-HM viennent de créer pour la première fois un cerveau virtuel permettant de reconstituer le cerveau d’une personne atteinte d’épilepsie. Ce travail permet de mieux comprendre le fonctionnement de la maladie mais aussi d’aider à préparer des gestes chirurgicaux par exemple. Ces résultats viennent d’être publiés en ligne sur le site de la revue Neuroimage.
 
Un pour cent de la population mondiale souffre d’épilepsie. La maladie affecte les individus différemment, d’où l’importance d’un diagnostic et d’un traitement individualisé. Or actuellement les moyens de comprendre les mécanismes de cette pathologie sont peu nombreux et relèvent surtout de l’interprétation visuelle d’un IRM et d’un électroencephalogramme. Cela s’avère d’autant plus difficile que 50% des patients ne présentent pas d’anomalie visible à l’IRM et que la cause de leur épilepsie reste donc inconnue.
Des chercheurs ont réussi pour la première fois à élaborer un cerveau virtuel personnalisé, en concevant un « modèle » de base et en y additionnant les informations individuelles du patient, comme la façon, propre à chaque individu, dont sont organisées les régions de son cerveau et l’interconnexion des aires entre elles. Le résultat permet de tester sur celui-ci des modèles mathématiques engendrant une activité cérébrale. Les scientifiques ont ainsi pu reproduire le lieu d’initiation des crises d’épilepsie et leur mode de propagation. Ce cerveau a donc une véritable valeur de prédiction du fonctionnement des crises pour chaque patient, ce qui offre un diagnostic beaucoup plus précis.
 
Par ailleurs, 30% des patients épileptiques ne répondent pas aux médicaments. Leur seul espoir reste alors la chirurgie. Celle-ci est efficace si le chirurgien a de bonnes indications sur les zones à opérer.

Le cerveau virtuel permet aux chirurgiens d’avoir une « plate-forme » virtuelle. Ils peuvent ainsi repérer les zones à opérer, en évitant pour ce faire d’avoir à procéder à un geste invasif, et surtout de préparer l’opération en testant différents gestes possibles, en voyant lequel est le plus efficace et quelles sont ses conséquences, chose évidemment impossible à faire sur le patient.

A terme, le but de l’équipe est d’offrir une médecine personnalisée du cerveau, en proposant, grâce à la virtualisation, des solutions thérapeutiques individualisées et spécifiques pour chaque patient. Les chercheurs travaillent actuellement sur des essais cliniques, afin de démontrer la valeur prédictive de leur découverte. Cette technologie est par ailleurs à l’essai sur d’autres pathologies affectant le cerveau, comme l’AVC, Alzheimer, les maladies neuro dégénératives, ou la sclérose en plaques.
Ces travaux impliquent des chercheurs de l’Institut de neurosciences des systèmes (Inserm/AMU), du Centre de résonance magnétique biologique et médicale (CNRS/AMU/AP-HM), du département épileptologie et du département neurophysiologie clinique de l’AP-HM, et l’Epilepsy Center de Cleveland. Ils ont été réalisés au sein de la Fédération hospitalo-universitaire Epinext (www.epinext.org).

Le Patient Epileptique Virtuel : les régions du cerveau et leurs connexions sont reconstruites par ordinateur. Les simulations numériques génèrent un signal électrique similaire à celui généré par le cerveau pendant les crises. Ces simulations permettent de tester informatiquement de nouvelles stratégies thérapeutiques

 

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Des techniques synchrotrons révèlent l’action d’une molécule métallo-organique dans des cellules d’une forme agressive du cancer du sein

 

 

 

 

 

 

 

Des techniques synchrotrons révèlent l’action d’une molécule métallo-organique dans des cellules d’une forme agressive du cancer du sein

| 04 FÉVR. 2019 - 15H18 | PAR INSERM (SALLE DE PRESSE)

CANCER

Cartographie par fluorescence excitée par rayonnement synchrotron de la distribution du potassium, élément physiologique essentiel de la cellule (K, rose) et, de  l’osmium (Os, vert), élément constitutif du dérivé osmocénique de l’hydroxytamoxifène, au sein de cellules de cancer du sein type triple négatif. Credits: Sylvain Bohic.
Certains types de cancer, comme le cancer du sein type triple négatif, restent réfractaires aux traitements par chimiothérapie. Des scientifiques de l’Inserm, du CNRS, de Sorbonne université, de l’université PSL, de l’Université Grenoble Alpes et de l’ESRF, le synchrotron européen de Grenoble, ont étudié une molécule organométallique, intéressante pour son activité antitumorale. Leurs recherches ont apporté une meilleure compréhension de son mécanisme d’action. Ces résultats sont publiés dans Angewandte Chemie.

Le cancer du sein type triple négatif (TNBC en anglais, « triple negative breast cancer »), représente 10 à 20% des cas de cancers du sein. Il se caractérise par l’absence de récepteur des œstrogènes, de récepteur de la progestérone et de récepteurs du facteur de croissance épidermique humaine (HER2). Ceci signifie qu’il ne répond ni à l’hormonothérapie ni à l’immunothérapie. Le manque de cibles moléculaires pour le traitement adapté de ce type de cancer très agressif reste un défi pour la communauté scientifique et médicale.

Une équipe pluridisciplinaire de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), du CNRS, de Sorbonne université, de l’université PSL, de l’Université Grenoble Alpes et de l’ESRF, a étudié une molécule organométallique de la famille des métallocènes, un dérivé du métabolite actif du tamoxifène, – un médicament oral d’hormonothérapie très utilisé pour la prévention et le traitement du cancer du sein non invasif et invasif – , et précisé son mécanisme d’action au sein de cellules de cancer du sein type triple négatif.

Ces composés organométalliques ont été développés par le professeur G.Jaouen et son groupe à Sorbonne université et à l’université PSL à Paris. Il sont démontré leur large spectre d’efficacité envers différents types de cellules cancéreuses et leur potentiel à surmonter la résistance aux médicaments anticancéreux.
« Nous connaissions l’efficacité de cette molécule à base d’osmium grâce aux travaux approfondis déjà effectués. Mais, nous ne connaissions pas exactement son mécanisme d’action dans des cellules de cancer du sein type triple-négatif. C’est pourquoi nous avons localisé et mesuré les concentrations de cette molécule à l’intérieur même de la cellule cancéreuse, afin de mieux évaluer son efficacité », explique Sylvain Bohic, chercheur Inserm et auteur principal de l’étude.


Les chercheurs ont utilisé la ligne de lumière ID16A pour leur expérience. La technique de pointe de nano-imagerie synchrotron permet un éclairage unique sur la distribution intracellulaire de ce métallocène, avec une résolution de 35 nanomètres. « Depuis plusieurs années, les recherches sont menées dans ce domaine. Aujourd’hui, elles bénéficient des dernières techniques en matière de   cryo-fluorescence des rayons X en 2D et 3D » explique Peter Cloetens, scientifique ESRF, en charge de ID16A.

Pour la première fois, l’équipe scientifique a montré comment la molécule pénètre aisément les membranes de la cellule cancéreuse en raison de sa nature lipophile et comment elle cible un organite cellulaire essentiel, le réticulum endoplasmique, un réseau de tubules membranaires (souvent interconnectées) dispersées dans tout le cytoplasme des cellules eucaryotes. La molécule, un dérivé osmocénique de l’hydroxytamoxifène, qui est oxydée à cet endroit engendre des métabolites qui vont attaquer différentes parties de la cellule en même temps, menant à l’activité anticancéreuse observée. « la cellule cancéreuse doit faire face à de nombreux feux démarrant à différents endroits dans la cellule. La cellule tumorale, débordée par autant d’attaques, ne peut faire face et meurt, ou s’inactive»,explique S. Bohic.

Les résultats sont prometteurs. En effet, cette nouvelle famille de composés organométalliques, qui  présentent un mécanisme d’action multi-cibles, pourrait devenir une alternative intéressante dans l’arsenal de chimiothérapie classique et, permettre de surmonter la résistance aux médicaments actuels tout en ayant un coût faible. Le médicament Cisplatine, une autre molécule contenant un métal de transition qui est largement utilisé pour le traitement du cancer, a comme cible primaire l’ADN qu’il endommage à l’intérieur de la cellule. Souvent efficace, il a cependant des effets secondaires et les cellules cancéreuses développent aussi des mécanismes de résistance à ce type de chimiothérapie. Le cancer du sein triple négatif, comme d’autres cancers, est souvent résistant au Cisplatine. « Cette étude contribue au développement de mécanismes alternatifs à ceux des molécules de chimiothérapie classique utilisées dans le traitement des cancers. Nous sommes au début de cette recherche. A ce stade, des tests cliniques ne peuvent être envisagés, mais cette étude est prometteuse »,indique leprof.G.Jaouen co-auteur de cette étude.
La prochaine étape est de découvrir comment cette molécule agit sur des cellules saines et d’étudier sa toxicologie.

 

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